Sans doute sommes-nous nombreux à faire le même constat qu'elle.
Mais il y a bien un moment où de la démocratie directe, concevable dans un rôle d'opposition ou de proposition, il faut passer au gouvernement, et à l'élection, garante de représentativité.
Les États-Unis semblent être capables de cette transformation: avec B. Obama, nous avons un exemple éclatant des vertus d'un système qui tous les 4 ans, amène de nouvelles têtes devant les électeurs.
Mais la France ?
Que faire pour ne pas se retrouver une nouvelle fois en 2012, devant le choix Nicolas-Ségolène, et pour la troisième fois, voter pour un candidat uniquement par rejet de l'autre ?
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